CANCER du SEIN: JE CHOISIS ou JE SUBIS?

Par Riverains de l'ICDI -

Le cancer du sein est un des plus fréquents chez la femme...
tout en étant présent chez l'homme aussi.
Certains facteurs environnementaux entrent 
indéniablement en ligne de compte 
même si le mode de vie choisi a son influence. 

FACTEURS LIES AU MODE DE VIE
l'alimentation: son influence sur le cancer du sein a confirmé 
l'implication de l'alcool (plus d'un verre par jour) et 
des graisses hydrogénées.
Les fruits et légumes sont vivement conseillés 
pour une consommation quotidienne.
Le tabac: le tabagisme actif comme passif, est identifié 
comme facteur de risque indéniable.
Les traitements hormonaux: ils augmenteraient les risques, 
des études sont en cours pour les traitements hormonaux de la ménopause.
L'activité physique n'est un facteur avéré protecteur que si elle est 
de nature modérée à intense et pratiquée 30 min. 5 fois par semaine.
La maternité et l'allaitement diminuent clairement le risque, 
surtout si la première grossesse a lieu avant 35 ans.

FACTEURS ENVIRONNEMENTAUX SUBIS
Les radiations ionisantes 
dues à des examens médicaux (imagerie médicale),
émanant naturellement du radon,
et plus rares, provenant d'accidents nucléaires.
Les doses reçues lors d'examens médicaux ont été
fortement diminuées depuis les années 70.
Les perturbateurs endocriniens:
ces composés chimiques, agissant sur les fonctions hormonales naturelles, 
sont suspectés de jouer un rôle dans tous les cancers
hormono-dépendants dont celui du sein.
Les pesticides
Les deux plus surveillés sont le PCB et le DDT,
parce qu'ils demeurent longtemps dans la nature et les tissus.
Travail de nuit. 
En cause, la perturbation du rythme biologique qui affecterait les hormones.
Au Danemark, le cancer du sein est reconnu depuis 2007
comme maladie professionnelle chez les femmes qui travaillent de nuit.

La liste est encore longue mais n'oublions pas
les dioxines: un excès significatif du nombre de cancers du sein 
chez les femmes exposées aux rejets d'incinérateurs de déchets, 
gros producteurs de dioxines, a été relevé à plusieurs reprises.
Encore d'autres infos sur www.pinkribbon-magazine.be

Depuis 1978, les gestionnaires de l'icdi, nous ont 
imposé les rejets toxiques massifs de l'incinérateur,
et le nouveau projet des "responsables" actuels de l'icdi
vise à pérenniser l'incinération au milieu du village!
Ces responsables qui se gargarisent des améliorations 
apportées et occultent soigneusement les doses 
accumulées par les riverains!
Heureusement, de plus en plus nombreux sont ceux 
qui se mêlent de ce qui les regarde, et des 
responsables politiques leur emboîtent le pas!

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